Campagnes

Les campagnes sont le battement de notre cœur, et vous êtes invités à prendre part au rythme de la transformation. Plongez, engagez-vous et laissez votre voix être la force qui façonne un avenir meilleur !

COALITION BOG

UOTTAWA SANS FOSSILE

REPENSER L’ACCUEIL DES ENFANTS

LES RANDONNÉES S’ARRÊTENT ICI

L’ÉDUCATION EST UN DROIT

LIBÉRER LA SCIENCE

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Selon le conseil d’administration, ils sont “responsables de la gouvernance et de la gestion globales de l’université. Concrètement, le conseil prend les décisions financières et met en œuvre les politiques et les procédures dont l’université a besoin pour fonctionner efficacement.

En tant qu’organe décisionnel suprême de l’université, les décisions prises par le Conseil d’administration (CA) ont une incidence directe sur l’expérience des étudiants, et ce de diverses manières. Plus récemment, cet été, le Conseil a décidé d’augmenter les frais de scolarité pour la dixième année consécutive, créant ainsi de nouveaux obstacles à l’accès à l’enseignement postsecondaire pour les étudiants de premier cycle, les étudiants diplômés et les étudiants étrangers. Cette décision a contribué à faire de l’Université d’Ottawa (parmi d’autres universités de l’Ontario) l’un des établissements les plus chers du pays.

Les décisions financières prises par le Conseil d’administration le sont dans le but d'”éviter le déficit”, tout en omettant de prendre des décisions qui placent les étudiants au premier plan. Ces décisions ne sont pas prises en raison d’une représentation inadéquate au sein du conseil d’administration. Le conseil d’administration est composé de “membres de la communauté” (parties prenantes), du président (Robert Giroux), du président (Allan Rock), de quatre professeurs, de trois étudiants et de deux membres du personnel de soutien, soit un total de 32 membres. Les membres du Conseil d’administration travaillent de manière indépendante, sans considération sérieuse de la part des membres internes, et agissent sans règles ou règlements définis.

Le Board of Governors Coalition (BoGC) est un comité composé de représentants des instances suivantes

  • Promouvoir un enseignement post-secondaire entièrement financé par les pouvoirs publics, accessible et de grande qualité. Cela signifie l’élimination des frais de scolarité pour tous les étudiants, nationaux et internationaux, à tous les niveaux de l’enseignement postsecondaire.
  • S’attaquer à d’autres obstacles systémiques et structurels à l’enseignement postsecondaire en améliorant l’aide financière. Il s’agirait par exemple d’éliminer les intérêts sur les prêts étudiants, d’étendre l’éligibilité au RAFE aux étudiants à temps partiel et aux étudiants étrangers, et de réaffecter les crédits d’impôt à des bourses initiales fondées sur les besoins.
  • Garantir un système d’enseignement post-secondaire de haute qualité en améliorant le ratio étudiants/faculté, en améliorant l’accès aux installations de recherche et au financement pour les étudiants et les professeurs, en soutenant des environnements de travail sûrs, équitables et de qualité pour tous les travailleurs des campus, en exigeant des politiques justes, accessibles et opportunes créées sur la base des principes de gouvernance collégiale.
  • Agir en solidarité pour exiger du gouvernement fédéral qu’il reconnaisse ses obligations découlant des traités et qu’il garantisse l’accès à tous les niveaux d’une éducation de qualité pour les peuples autochtones. Cela signifie, au minimum, supprimer le plafond du Programme d’aide aux étudiants de niveau postsecondaire (PAESP) et le mettre à la disposition de tous les étudiants admissibles.


Fossil Free uOttawa est une campagne qui vise à inciter l’Université d’Ottawa à se désinvestir des entreprises de combustibles fossiles. Le désinvestissement est le contraire de l’investissement – le retrait des investissements des actions, des obligations ou des fonds. Le désinvestissement des combustibles fossiles demande aux institutions de retirer leur argent des compagnies de pétrole, de charbon et de gaz pour des raisons morales et financières.

La GSAÉD appuie cette cause et travaille sur cette campagne en partenariat avec d’autres acteurs du campus de l’Université d’Ottawa.

Pour en savoir plus sur le rapport de Fossil Free uOttawa ” The Case for Fossil Fuel Divestment at the University of Ottawa“.

Consultez la déclaration de désinvestissement de la GSAÉD de notre institution financière :

Les scientifiques et leurs programmes de recherche sont de plus en plus sous-financés, et leurs résultats ne parviennent pas au public. Les politiques du gouvernement conservateur ont miné l’accès du public au savoir, affaibli les décisions politiques fondées sur des preuves et augmenté l’influence des entreprises sur nos campus et dans nos recherches.

La GSAÉD travaille avec la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants sur la campagne Libérer la science pour souligner comment ces changements affectent les étudiants et la santé de nos systèmes d’enseignement supérieur. Nous visons à sensibiliser les étudiants des cycles supérieurs à la recherche accessible au public, dont le travail peut être l’un des plus directement affectés. Pour participer à la campagne, veuillez contacter Lindsey Thomson, commissaire aux affaires extérieures. Nous travaillons également en étroite collaboration avec Evidence for Democracy.

Notre objectif est de:

  • Défendre la commercialisation de la recherche sur les campus et les universités. Les établissements publics d’enseignement supérieur sont chargés de dispenser un enseignement et une recherche de haute qualité dans l’intérêt du public. Cette responsabilité exige que les chercheurs universitaires aient le droit de mener des recherches indépendantes, libres de toute influence ou restriction de la part du gouvernement et de l’industrie privée.
  • Supprimer les affectations ciblées de fonds de recherche au sein du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en ingénierie du Canada (CRSNG) et des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), et attribuer les fonds de recherche sur la base du mérite académique déterminé par un processus d’évaluation par les pairs.
  • Soutenir l’accès du public aux connaissances publiques en exigeant que tous les résultats des travaux scientifiques et de recherche du gouvernement soient accessibles au public, que tous les scientifiques et chercheurs du gouvernement soient libres de diffuser leurs résultats sans restrictions gouvernementales indues, que Bibliothèques et Archives Canada soit doté de ressources suffisantes et reste entièrement public, que Statistique Canada rétablisse le formulaire long de recensement et augmente le financement de sa branche éducation pour la collecte et l’analyse de statistiques permettant de suivre correctement l’impact de l’endettement des étudiants sur les taux d’achèvement des études postsecondaires et la satisfaction des exigences du marché du travail, et en s’opposant au financement de la recherche scientifique qui dérange politiquement et à l’empilement des conseils d’administration des conseils subventionnaires.
  • S’opposer à la suppression du financement de la recherche jugée “politique” et à l’organisation d’organes d’administration des conseils de financement.

Activités en cours

Troisième édition de science on tap : spécial élections

Pour ce numéro spécial élections, nous avions trois panélistes :

Robert Ramsay, agent professionnel de l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU). L’ACPPU est le porte-parole national de 68 000 membres du personnel académique et général de plus de 120 universités et collèges à travers le Canada.

Katie Gibbs, directrice générale d’Evidence for Democracy. E4D est la principale organisation à but non lucratif, non partisane et axée sur les faits, qui promeut l’utilisation transparente des données probantes dans la prise de décision gouvernementale au Canada.

Christina Muehlberger, présidente du Caucus national des diplômés de la Fédération canadienne des étudiants. Le CNG représente 60 000 étudiants diplômés dans 31 campus à travers le Canada.

Deuxième édition de Science on tap

Rejoignez-nous pour la deuxième édition de notre série de conférences Science on Tap pour boire une bière et manger pendant que nous discutons de l’importance de rendre la science accessible !

Notre deuxième intervenant, Robert Ramsay, est administrateur de l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU). L’ACPPU est le porte-parole national de 68 000 membres du personnel académique et général de plus de 120 universités et collèges du Canada.

Pour plus d’informations sur l’événement, suivez la page Facebook de l’événement.

Première édition de science on tap

Rejoignez-nous pour la première série de conférences Science on Tap, autour d’une bière et d’un repas, tout en discutant de l’importance de rendre la science accessible !

Cette conférence s’inscrit dans le cadre de la campagne “Libérez la science”, qui vise à sensibiliser les étudiants de troisième cycle à la recherche accessible au public.

Notre première panéliste, Nadine Wiper-Bergeron, est membre du corps enseignant du département de médecine cellulaire et moléculaire de l’Université d’Ottawa. Ses recherches visent à comprendre comment les cellules souches se transforment en cellules adipeuses, osseuses et musculaires.

Pour plus d’informations sur l’événement, suivez la page facebook de l’événement!

Notre objectif est de :

  • Veiller à ce que l’accès sûr et confortable aux rues pour les piétons, les cyclistes et les usagers des transports en commun de tous âges et de toutes capacités ne soit pas une réflexion après coup, mais fasse partie intégrante du processus de planification de la construction, de la modernisation et de l’entretien de toutes les routes. Il s’agit notamment de plaider en faveur de ” rues complètes ” pour la ville d’Ottawa et d’une stratégie à l’échelle de la province pour des transports publics accessibles et abordables.
  • Promouvoir le transport en commun pour les étudiants de la ville d’Ottawa en plaidant en faveur d’une U-Pass plus abordable, d’une entente avec la STO et OC Transpo pour que les étudiants qui vivent au Québec puissent profiter des avantages de la U-Pass, d’une augmentation des itinéraires directs pour et entre tous les campus des établissements postsecondaires de la ville, de la création d’options estivales pour les étudiants et de l’élimination de la limite d’âge sur les cartes d’autobus pour étudiants.


Notre objectif est de

  • Promouvoir un système de garde d’enfants financé par l’État, universel et reflétant les besoins des parents. Cela signifie l’élimination des frais d’utilisation pour les services de garde d’enfants, une augmentation massive des places de garde d’enfants à but non lucratif et réglementées dans tous les quartiers qui en ont besoin – en particulier ceux où se trouvent des établissements d’enseignement postsecondaire.
  • De manière pragmatique, l’Université d’Ottawa doit fournir des places en garderie aux étudiants, aux professeurs et au personnel qui en ont le plus besoin, la ville d’Ottawa doit accroître son engagement en matière de garderie et veiller à ce que les étudiants diplômés aient accès à des places subventionnées, la province de l’Ontario doit créer un système universel de garderie semblable à celui du Québec et, enfin, un système national universel de garderie doit être mis en place au Canada.
  • Défendre le droit fondamental d’allaiter en tout temps et en tout lieu et reconnaître que la stigmatisation sociale, les réalités culturelles et personnelles, les pratiques institutionnelles et la menace de harcèlement rendent l’allaitement en public irréaliste pour plusieurs et appuyer la création de salles d’allaitement sur les campus qui sont propres, confortables et accessibles.

La GSAÉD s’est associée à des groupes de travail à travers le Canada et demande aux gouvernements provinciaux et fédéral de repenser la façon dont les services de garde d’enfants sont gérés en Ontario et au Canada. Pour plus d’informations sur la campagne, voir la vidéo ci-dessous et visiter le site web de Rethink Childcare.


Les frais de scolarité ont augmenté de 80 % depuis 2006 et les étudiants de l’Ontario paient les frais les plus élevés du pays. Certaines universités reçoivent actuellement plus de 50 % de leur budget grâce à des fonds privés (frais de scolarité), ce qui soulève la question de savoir si le Parti libéral de l’Ontario a l’intention de maintenir notre système d’éducation public.

À l’Université d’Ottawa, afin d’éviter la surveillance des étudiants, l’administration a organisé un vote secret en ligne pour augmenter nos frais de scolarité de 5 % pour 2013-2014 et a indiqué qu’elle avait l’intention de le faire chaque année pendant les quatre prochaines années.

Rejoignez la lutte pour exiger un accès universel à un enseignement postsecondaire de qualité.